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vendredi 17 décembre 2010
mercredi 15 décembre 2010
Lire un code à barre avec un téléphone portable : fonctionnalité ou objet d'une application ?
Comme nous le disions en octobre 2009, "scanner un code à barre" avec un téléphone portable devient l'une des fonctions logicielles intégrée dans des applications mobiles comme celles de Decathlon, Castorama, Houra ou en encore L'Oréal et non plus simplement l'objet d'une application comme Neoreader, Microsoft Tag ou encore Quickmark.
Un code-barre est un identifiant d'immatriculation et permet donc d'identifier un produit ou tout du moins la famille de produit à laquelle il appartient. Mais comme nous le mentionnions déjà ici, le code-barre n'est que l'un des composants d'un écosystème qui articule produit et identifiant, téléphone et logiciel, bases de données et information - et éventuellement le réseau (pour expliquer le Flashcode).
Ainsi, l'information à laquelle accède un utilisateur à partir d'un produit dépend avant tout du logiciel utilisé et des bases de données prévues par les concepteurs du service : Google Shopper ou Orange Shopping pour comparer les prix ? Un simple logiciel de scan de code-barre dont les résultats dépendront des bases de données interrogées ? Une application sociale comme GMO-free QR code reader (identifier des produits contenant des OGM) ou Goodguide (notation sociale et environnementale), voire médicale comme ScanAvert (allergène) ? Une application marketing comme Stickybits ? etc.
Le code-barre n'est qu'un identifiant physique d'immatriculation et/ou de connexion qui n'est pas relié à une ressource numérique précise mais à l'espace d'information constitué par le web.
On peut au moins faire une remarque : si les objets, et tout particulièrement les produits de grande consommation deviennent par l'intermédiaire du téléphone le vecteur d'information et de services provenant de tiers, (dont beaucoup sont déjà accessibles sur le web), quelles vont être leurs réactions de ceux qui en sont à l'origine ?
Beaucoup de marques sont circonspectes face à ces nouvelles pratiques, même si d'autres commencent à franchir le pas : Céline Brucker, Directrice Générale L’Oréal Paris France expliquait ainsi : « Tôt ou tard les consommateurs vont s’emparer du code barre comme ils se sont emparés du web ». (Source).
Ainsi, le scan de code-barre devient à la fois l'une des fonctions logicielles intégrée dans des applications mobiles développées par des marques (par exemple pour rajouter un produit dans sa liste de course avec l'application Houra) mais aussi l'objet d'une application qui permettrait d'accéder à des informations tierces (comparer les prix).
Avez-vous d'autres exemples ? Qu'en pensez-vous ?
Un code-barre est un identifiant d'immatriculation et permet donc d'identifier un produit ou tout du moins la famille de produit à laquelle il appartient. Mais comme nous le mentionnions déjà ici, le code-barre n'est que l'un des composants d'un écosystème qui articule produit et identifiant, téléphone et logiciel, bases de données et information - et éventuellement le réseau (pour expliquer le Flashcode).
Ainsi, l'information à laquelle accède un utilisateur à partir d'un produit dépend avant tout du logiciel utilisé et des bases de données prévues par les concepteurs du service : Google Shopper ou Orange Shopping pour comparer les prix ? Un simple logiciel de scan de code-barre dont les résultats dépendront des bases de données interrogées ? Une application sociale comme GMO-free QR code reader (identifier des produits contenant des OGM) ou Goodguide (notation sociale et environnementale), voire médicale comme ScanAvert (allergène) ? Une application marketing comme Stickybits ? etc.
Le code-barre n'est qu'un identifiant physique d'immatriculation et/ou de connexion qui n'est pas relié à une ressource numérique précise mais à l'espace d'information constitué par le web.
On peut au moins faire une remarque : si les objets, et tout particulièrement les produits de grande consommation deviennent par l'intermédiaire du téléphone le vecteur d'information et de services provenant de tiers, (dont beaucoup sont déjà accessibles sur le web), quelles vont être leurs réactions de ceux qui en sont à l'origine ?
Beaucoup de marques sont circonspectes face à ces nouvelles pratiques, même si d'autres commencent à franchir le pas : Céline Brucker, Directrice Générale L’Oréal Paris France expliquait ainsi : « Tôt ou tard les consommateurs vont s’emparer du code barre comme ils se sont emparés du web ». (Source).
Ainsi, le scan de code-barre devient à la fois l'une des fonctions logicielles intégrée dans des applications mobiles développées par des marques (par exemple pour rajouter un produit dans sa liste de course avec l'application Houra) mais aussi l'objet d'une application qui permettrait d'accéder à des informations tierces (comparer les prix).
Avez-vous d'autres exemples ? Qu'en pensez-vous ?
Libellés :
code 1D,
EAN,
étiquette graphique,
Google,
GS1,
Microsoft Tag,
Neomedia,
quickmark,
Téléphone mobile,
usages B-to-C,
Usages C-to-B,
usages C-to-C,
usages non marchands
mardi 14 décembre 2010
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