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jeudi 14 mai 2009
Réalité Augmentée pour la Ford Ka
Le site web :
Le site mobile où vous pourrez trouver l'application :
J'ai trouvé le logiciel mobile sur la version italienne. Le lien est http://fordka.mobi/it - mais vous pouvez aussi scanner ce QR code :
Voici une vidéo du résultat :
Source :
Dr. Hirokazu Kato du HIT Lab NZ de l'Université de Canterbury, New Zealand.
ARToolworks, Inc, Seattle
Le site mobile où vous pourrez trouver l'application :
J'ai trouvé le logiciel mobile sur la version italienne. Le lien est http://fordka.mobi/it - mais vous pouvez aussi scanner ce QR code :
Voici une vidéo du résultat :
Source :
Dr. Hirokazu Kato du HIT Lab NZ de l'Université de Canterbury, New Zealand.
ARToolworks, Inc, Seattle
jeudi 7 mai 2009
Code 2D libre et Flashcode : quelle différence ?
Mobiletag, leader européen du code barre 2D, propose une solution globale regroupant :
Pourquoi ?
Je recopie ici un extrait de l'article de Bernard Benhamou sur "L’internet : anatomie d’un réseau d’échange" :
L’architecture de l’internet possède plusieurs spécificités technologiques, économiques et politiques qui conditionnent les usages du réseau. Ainsi, avant d’être un réseau ou même « un réseau de réseaux », l’internet est d’abord un assemblage de protocoles dotés de caractéristiques spécifiques.
L’une des définitions « historiques » de l’internet a été donnée par Ed Kroll et résume la nature pluridimensionnelle du réseau :
• L’internet est un réseau de réseaux fonctionnant avec le protocole TCP/IP ;
• une communauté de personnes qui utilisent et développent ces réseaux ;
• l’ensemble des ressources mises à disposition de ces communautés.
L’architecture liée à cette définition correspond à la superposition de « couches » dont les fonctions sont différentes. Ainsi pour Y. Benkler ces trois couches fondamentales de l’internet sont liées d’une part au transport (infrastructures physiques), puis aux applications (couche logique) et enfin aux informations échangées (couche des contenus). L’une des particularités de cette architecture est liée à l’indépendance des différentes « couches » qui constituent le réseau.
Le double protocole fondamental de l’internet « TCP/IP » assure en effet une séparation entre les fonctions de transport et les fonctions de traitement des informations. Cette séparation est l’un des principes essentiels de l’internet : le principe du end-to-end (ou architecture de « bout en bout »). Selon ce principe, l’ « intelligence » du réseau est située à l’extrémité des mailles et non centralisée dans le réseau lui-même, les fonctions « nobles » de traitement de l’information étant alors réservées aux ordinateurs (et aux usagers) situés aux extrémités du réseau.
C’est cette particularité de l’architecture de l’internet qui a permis à des utilisateurs « isolés » de développer des technologies qui par la suite ont été adoptées mondialement. Ce fut le cas avec le langage HTML qui a donné naissance au World Wide Web mais aussi plus récemment des weblogs ainsi que des systèmes dits de « pair à pair » (ou peer to peer). Ces technologies d’échanges ne sont en fait que les traductions les plus récentes du principe du end-to-end.
Ce principe de réseau décentralisé constitue aussi une rupture profonde avec les systèmes de réseaux « en étoile » auxquels nous étions précédemment habitués, en particulier avec le minitel. Une architecture centralisée, en plus de rendre un réseau plus vulnérable aux attaques, fait reposer l’effort de création de nouveaux services sur un nombre limité d’acteurs et prive donc ses utilisateurs de nombreuses opportunités d’innovations (en tant que bénéficiaires mais aussi en tant que contributeurs comme c’est le cas lors du développement des logiciels libres).
À l’inverse, les réseaux qui adoptent le principe du end-to-end sont « neutres » et se limitent à transporter des informations sans les modifier (c’est la raison pour laquelle ce principe est aussi appelé principe de « neutralité »). Le réseau constitue alors une plateforme d’expression commune, un « bien commun » qui permet à l’ensemble des utilisateurs de développer de
nouveaux contenus et de nouveaux services.
Vous l'aurez compris, je souhaite faire une analogie avec ce qui se passe autour des codes 2D. On a ainsi deux visions de l'Internet mobile via code 2D : d'un côté celle de l'informatique, des constructeurs de téléphone portable et des acteurs du web, et de l'autre, celle des opérateurs de télécommunication. Quand les premiers voient un moyen d'accéder à des contenus et services disponibles sur un réseau décentralisé, les seconds voient un point d'accès vers une architecture centralisée qui renvoie ensuite vers des contenus et services mobiles...
Or avec une architecture centralisée, il suffit que les 3 serveurs Flashcode des 3 opérateurs ne soient pas à jour ou mal synchronisés pour que les Flashcode fonctionnent chez l'un et pas chez l'autre, ou tout simplement pas du tout, ce qui est apparemment le cas lorsque je publie ce post.
Pour rappel, un code 2D est un "hypertexte mobile", c'est à dire un moyen d'accès. Comme le souligne MobileTag sur son site Web, au Japon, le QR code rencontre un succès phénoménal, mais oublie juste de préciser que le Japon s'appuie sur le modèle http où la création de valeur repose à la fois sur l'utilisateur et sur l'architecture décentralisée du réseau.
Faudra-t-il attendre que les acteurs du web et de l'informatique s'invitent dans la partie pour que nous puissions tomber d'accord sur quelques standards internationaux librement utilisables par tous ? Qu'en pensez-vous ?
- La création et la gestion des codes barres
- Les lecteurs et applications pour les mobiles
- La plate-forme de gestion des informations
Pourquoi ?
Je recopie ici un extrait de l'article de Bernard Benhamou sur "L’internet : anatomie d’un réseau d’échange" :
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L’architecture de l’internet possède plusieurs spécificités technologiques, économiques et politiques qui conditionnent les usages du réseau. Ainsi, avant d’être un réseau ou même « un réseau de réseaux », l’internet est d’abord un assemblage de protocoles dotés de caractéristiques spécifiques.
L’une des définitions « historiques » de l’internet a été donnée par Ed Kroll et résume la nature pluridimensionnelle du réseau :
• L’internet est un réseau de réseaux fonctionnant avec le protocole TCP/IP ;
• une communauté de personnes qui utilisent et développent ces réseaux ;
• l’ensemble des ressources mises à disposition de ces communautés.
L’architecture liée à cette définition correspond à la superposition de « couches » dont les fonctions sont différentes. Ainsi pour Y. Benkler ces trois couches fondamentales de l’internet sont liées d’une part au transport (infrastructures physiques), puis aux applications (couche logique) et enfin aux informations échangées (couche des contenus). L’une des particularités de cette architecture est liée à l’indépendance des différentes « couches » qui constituent le réseau.
Le double protocole fondamental de l’internet « TCP/IP » assure en effet une séparation entre les fonctions de transport et les fonctions de traitement des informations. Cette séparation est l’un des principes essentiels de l’internet : le principe du end-to-end (ou architecture de « bout en bout »). Selon ce principe, l’ « intelligence » du réseau est située à l’extrémité des mailles et non centralisée dans le réseau lui-même, les fonctions « nobles » de traitement de l’information étant alors réservées aux ordinateurs (et aux usagers) situés aux extrémités du réseau.
C’est cette particularité de l’architecture de l’internet qui a permis à des utilisateurs « isolés » de développer des technologies qui par la suite ont été adoptées mondialement. Ce fut le cas avec le langage HTML qui a donné naissance au World Wide Web mais aussi plus récemment des weblogs ainsi que des systèmes dits de « pair à pair » (ou peer to peer). Ces technologies d’échanges ne sont en fait que les traductions les plus récentes du principe du end-to-end.
Ce principe de réseau décentralisé constitue aussi une rupture profonde avec les systèmes de réseaux « en étoile » auxquels nous étions précédemment habitués, en particulier avec le minitel. Une architecture centralisée, en plus de rendre un réseau plus vulnérable aux attaques, fait reposer l’effort de création de nouveaux services sur un nombre limité d’acteurs et prive donc ses utilisateurs de nombreuses opportunités d’innovations (en tant que bénéficiaires mais aussi en tant que contributeurs comme c’est le cas lors du développement des logiciels libres).
À l’inverse, les réseaux qui adoptent le principe du end-to-end sont « neutres » et se limitent à transporter des informations sans les modifier (c’est la raison pour laquelle ce principe est aussi appelé principe de « neutralité »). Le réseau constitue alors une plateforme d’expression commune, un « bien commun » qui permet à l’ensemble des utilisateurs de développer de
nouveaux contenus et de nouveaux services.
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Vous l'aurez compris, je souhaite faire une analogie avec ce qui se passe autour des codes 2D. On a ainsi deux visions de l'Internet mobile via code 2D : d'un côté celle de l'informatique, des constructeurs de téléphone portable et des acteurs du web, et de l'autre, celle des opérateurs de télécommunication. Quand les premiers voient un moyen d'accéder à des contenus et services disponibles sur un réseau décentralisé, les seconds voient un point d'accès vers une architecture centralisée qui renvoie ensuite vers des contenus et services mobiles...
Or avec une architecture centralisée, il suffit que les 3 serveurs Flashcode des 3 opérateurs ne soient pas à jour ou mal synchronisés pour que les Flashcode fonctionnent chez l'un et pas chez l'autre, ou tout simplement pas du tout, ce qui est apparemment le cas lorsque je publie ce post.
Pour rappel, un code 2D est un "hypertexte mobile", c'est à dire un moyen d'accès. Comme le souligne MobileTag sur son site Web, au Japon, le QR code rencontre un succès phénoménal, mais oublie juste de préciser que le Japon s'appuie sur le modèle http où la création de valeur repose à la fois sur l'utilisateur et sur l'architecture décentralisée du réseau.
Faudra-t-il attendre que les acteurs du web et de l'informatique s'invitent dans la partie pour que nous puissions tomber d'accord sur quelques standards internationaux librement utilisables par tous ? Qu'en pensez-vous ?
MAJ du 10 novembre : Mobiletag lit désormais (sur Iphone) les codes 2D libres (QR Code (Asie) et Datamatrix (Europe, Etats-Unis)) et le code 2D propriétaires de l'AFMM.
Couleur, code 2D et autres news...
On parle de plus en plus de code 2D en couleur, ou tout du moins, travaillé graphiquement.
MobileTag sortirait prochainement une solution de personnalisation de codes barres 2D Flashcode dont je vous rappelle quand même la rigueur de la charte graphique...
Pour la seconde année consécutive, mobiLead travaille de nouveau avec l’agence Ariane Tours sur l’utilisation d’un code graphique dans son Catalogue de voyages à destination de l’Asie. Ce dernier, publié à 17 000 exemplaires est diffusé en France, en Belgique, au Luxembourg et en Suisse depuis le mois de Mars 2009. Le procédé original, d’inclusion du logo en filigrane dans un code optique tel que Datamatrix, avait déjà été utilisé sur les supports du cirque Arlette Gruss dès Septembre 2008 dans son dépliant, tiré à 12 000 exemplaires à destination des collectivités locales et comités d’entreprise.
Quant à Microsoft Tag (à ne pas confondre avec Mtag), il est dorénavant possible d'incruster une image derrière le code. Microsoft a d'ailleurs lancé depuis le 4 mai dernier le "Tag Slaps Design Contest", un concours sollicitant les utilisateurs pour créer des Microsoft Tag.
Autre news, Nokia envoie des SMS en France en ce moment pour rappeler aux possesseurs d'un Nokia serie N et E (la liste exacte est ici) l'existence d'un lecteur de code-barre dans leur téléphone portable (QR Code et Datamatrix). Ceci fonctionne bien sûr auprès de ceux qui ont la chance d'avoir un téléphone qui n'est pas passé par un opérateur (l'application est désinstallée par leur soin).
Dernière news, une application WordPress permet à tous les blogeurs utilisant cette plate-forme de rendre compatible leur contenu sur téléphone portable. Une option "barcode widget" permet de générer dynamiquement des QR Code.
MobileTag sortirait prochainement une solution de personnalisation de codes barres 2D Flashcode dont je vous rappelle quand même la rigueur de la charte graphique...
Pour la seconde année consécutive, mobiLead travaille de nouveau avec l’agence Ariane Tours sur l’utilisation d’un code graphique dans son Catalogue de voyages à destination de l’Asie. Ce dernier, publié à 17 000 exemplaires est diffusé en France, en Belgique, au Luxembourg et en Suisse depuis le mois de Mars 2009. Le procédé original, d’inclusion du logo en filigrane dans un code optique tel que Datamatrix, avait déjà été utilisé sur les supports du cirque Arlette Gruss dès Septembre 2008 dans son dépliant, tiré à 12 000 exemplaires à destination des collectivités locales et comités d’entreprise.
Quant à Microsoft Tag (à ne pas confondre avec Mtag), il est dorénavant possible d'incruster une image derrière le code. Microsoft a d'ailleurs lancé depuis le 4 mai dernier le "Tag Slaps Design Contest", un concours sollicitant les utilisateurs pour créer des Microsoft Tag.
Autre news, Nokia envoie des SMS en France en ce moment pour rappeler aux possesseurs d'un Nokia serie N et E (la liste exacte est ici) l'existence d'un lecteur de code-barre dans leur téléphone portable (QR Code et Datamatrix). Ceci fonctionne bien sûr auprès de ceux qui ont la chance d'avoir un téléphone qui n'est pas passé par un opérateur (l'application est désinstallée par leur soin).
Dernière news, une application WordPress permet à tous les blogeurs utilisant cette plate-forme de rendre compatible leur contenu sur téléphone portable. Une option "barcode widget" permet de générer dynamiquement des QR Code.
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