Rechercher (2007-2014)
vendredi 31 octobre 2008
mercredi 29 octobre 2008
Nokia devrait prochainement lancer une appli mobile de réalité augmentée
Répondant au doux nom de "Point & Find", Nokia s'intéresse depuis longtemps au concept de réalité augmentée. Une technologie de plus qui utilise l'optique de la caméra du téléphone portable. La particularité de cette application est qu'elle fonctionne en mode local et nécessite donc une base de données d'éléments à « analyser » stockée dans le téléphone. "Point & Find" n'utilise donc pas le réseau et ne nécessite pas non plus de prendre en photo un élément précis. L'utilisateur doit simplement pointer le lieu ou l'objet à propos duquel il souhaite obtenir des informations pour que ces dernières s'affichent automatiquement sur son écran.
"Point and Find" a initialement été développé par une start-up de la Silicon Valley, Pixto, rachetée en 2007 par Nokia.
Plus d'infos sur Mobinaute.
jeudi 23 octobre 2008
lundi 20 octobre 2008
mardi 14 octobre 2008
Y01 est un service de codes-barres 2D au format ouvert
Y01 est un service de codes-barres 2D au format ouvert à destination des particuliers et des professionnels de la communication (agences ou annonceurs). Y01 PRO est basé sur les standards libres de droits QR Code et Datamatrix qui permettent de créer des codes-barres 2D (liens http, agenda, carte de visite etc...).
Le service en ligne
La Web Agency derrière tout ça
lundi 13 octobre 2008
jeudi 9 octobre 2008
Code 2D vu par MobileTag (télcos) et par l’informatique – conversation initiée sur TechCrunch
Je continue de répondre à Monsieur l’anonyme suite à notre conversation sur le site de TechCrunch, principalement pour étayer mon propos de graphiques et parce que cette réponse se veut un peu plus longue qu’un simple commentaire. Pour lire la genèse de cette conversation, rendez-vous ici !
> Cela dépend de la version que vous possédez (en fonction de votre opérateur). Certaines versions permettent de lire des tags contenant une url sans redirection (ces tags sont définis dans la spécification flashcode).
--> C'est toujours du Flashcode ! et cela ne lit pas les URL dont le protocole est http ! Une URL, de l'anglais Uniform Resource Locator, littéralement « localisateur uniforme de ressource », est une chaîne de caractères (codée en ASCII, donc utilisant l'alphabet anglais) utilisée pour adresser les ressources du World Wide Web. Le HyperText Transfer Protocol, plus connu sous l'abréviation HTTP, littéralement le « protocole de transfert hypertexte », est un protocole de communication client-serveur développé pour le World Wide Web. Le Flashcode est une suite de chiffres, par exemple 54120820010000155 qui doit nécessairement être interprétée par votre logiciel mobile pour que le trafic data passe par vos serveurs et que le mobinaute puisse être redirigé vers l'URL cible. Vous vous posez donc en intermédiaire et passez outre le fondement même de l'internet, à savoir celui d'être un réseau décentralisé. Contrairement au téléphone et au minitel, l'internet est « décentralisé », c'est-à-dire que le pouvoir se trouve aux extrémités, chez les utilisateurs (entreprises et particuliers). Je vous conseille de lire http://www.isoc.fr/la-neutralite-du-reseau-article0059.html
> Flashcode est basé sur le format Datamatrix (ouvert) & encode l'information selon la spécification mobiletag/flashcode (format également libre & ouvert).
--> Vous avez tout dit ! Le format Datamatrix est ouvert, pourquoi rajouter une spécification ?? Ce n'est pas parce que votre spécification est rendue publique qu'elle devient ouverte. Votre spécification est en effet d'imposer un serveur de redirection entre le Flashcode et l'URL cible. Or plutôt que de choisir un modèle de redirection qui s'appuie sur le protocole http, vous avez choisi d'opter pour un modèle crypté. On confond ici service et technique. Ce serait comme remplacer le protocole "http" sur le web par une "suite de chiffres" dont vous seriez les gestionnaires. Pour faire un lien sur mon site web vers une autre page de mon propre site web, je devrai vous appeler (payer) pour que vous puissiez me délivrer un numéro qui me permette de faire ce lien ??
> Le format Datamatrix ne spécifie pas à ma connaissance (corrigez-moi si je me trompe) comment doit être stocké une url par exemple, ce n'est qu'un conteneur.
--> Vous avez parfaitement raison. Ce format datamatrix, qui appartient au domaine public, permet donc à tous d'écrire ce que l'on veut en Datamatrix : du texte, des chiffres et lorsque l'on encode du texte avec http devant, cela devient un hypertexte ; lorsque l'on écrit un numéro de téléphone, il est également cliquable. C'est la magie d'une interopérabilité mondiale, DE FACTO où des services mobiles de type Semapedia sont déjà disponibles dans plus de 13 langues, partout dans le monde ! C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, lorsque l'on scanne un Flashcode avec un logiciel mobile qui lit du Datamatrix ouvert, on voit s'afficher cette fameuse suite de chiffres 54......que mon téléphone portable me propose d'ailleurs d'appeler. J'ai ailleurs essayé, au cas où, mais une jolie voix féminine m'a informé que le service n'existe pas...
Concernant le CTIA : ce sont également les opérateurs de télécommunication, mais aux Etats-Unis. Vous devriez lire les réactions suite à ce livre blanc. D'ailleurs, les industriels aux US ne voient pas d'un bon oeil cette vision de l'Internet mobile. Quant à ScanLife qui lirait le Flahscode, c'est fini depuis longtemps ; éventuellement le logiciel mobile développé pour la RATP par Scanbuy qui lit du Datamatrix ouvert et du Flashcode, mais le site n'est plus mis à jour depuis août 2007...
Que pensez-vous de tout cela ?
> Cela dépend de la version que vous possédez (en fonction de votre opérateur). Certaines versions permettent de lire des tags contenant une url sans redirection (ces tags sont définis dans la spécification flashcode).
--> C'est toujours du Flashcode ! et cela ne lit pas les URL dont le protocole est http ! Une URL, de l'anglais Uniform Resource Locator, littéralement « localisateur uniforme de ressource », est une chaîne de caractères (codée en ASCII, donc utilisant l'alphabet anglais) utilisée pour adresser les ressources du World Wide Web. Le HyperText Transfer Protocol, plus connu sous l'abréviation HTTP, littéralement le « protocole de transfert hypertexte », est un protocole de communication client-serveur développé pour le World Wide Web. Le Flashcode est une suite de chiffres, par exemple 54120820010000155 qui doit nécessairement être interprétée par votre logiciel mobile pour que le trafic data passe par vos serveurs et que le mobinaute puisse être redirigé vers l'URL cible. Vous vous posez donc en intermédiaire et passez outre le fondement même de l'internet, à savoir celui d'être un réseau décentralisé. Contrairement au téléphone et au minitel, l'internet est « décentralisé », c'est-à-dire que le pouvoir se trouve aux extrémités, chez les utilisateurs (entreprises et particuliers). Je vous conseille de lire http://www.isoc.fr/la-neutralite-du-reseau-article0059.html
> Flashcode est basé sur le format Datamatrix (ouvert) & encode l'information selon la spécification mobiletag/flashcode (format également libre & ouvert).
--> Vous avez tout dit ! Le format Datamatrix est ouvert, pourquoi rajouter une spécification ?? Ce n'est pas parce que votre spécification est rendue publique qu'elle devient ouverte. Votre spécification est en effet d'imposer un serveur de redirection entre le Flashcode et l'URL cible. Or plutôt que de choisir un modèle de redirection qui s'appuie sur le protocole http, vous avez choisi d'opter pour un modèle crypté. On confond ici service et technique. Ce serait comme remplacer le protocole "http" sur le web par une "suite de chiffres" dont vous seriez les gestionnaires. Pour faire un lien sur mon site web vers une autre page de mon propre site web, je devrai vous appeler (payer) pour que vous puissiez me délivrer un numéro qui me permette de faire ce lien ??
> Le format Datamatrix ne spécifie pas à ma connaissance (corrigez-moi si je me trompe) comment doit être stocké une url par exemple, ce n'est qu'un conteneur.
--> Vous avez parfaitement raison. Ce format datamatrix, qui appartient au domaine public, permet donc à tous d'écrire ce que l'on veut en Datamatrix : du texte, des chiffres et lorsque l'on encode du texte avec http devant, cela devient un hypertexte ; lorsque l'on écrit un numéro de téléphone, il est également cliquable. C'est la magie d'une interopérabilité mondiale, DE FACTO où des services mobiles de type Semapedia sont déjà disponibles dans plus de 13 langues, partout dans le monde ! C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, lorsque l'on scanne un Flashcode avec un logiciel mobile qui lit du Datamatrix ouvert, on voit s'afficher cette fameuse suite de chiffres 54......que mon téléphone portable me propose d'ailleurs d'appeler. J'ai ailleurs essayé, au cas où, mais une jolie voix féminine m'a informé que le service n'existe pas...
Concernant le CTIA : ce sont également les opérateurs de télécommunication, mais aux Etats-Unis. Vous devriez lire les réactions suite à ce livre blanc. D'ailleurs, les industriels aux US ne voient pas d'un bon oeil cette vision de l'Internet mobile. Quant à ScanLife qui lirait le Flahscode, c'est fini depuis longtemps ; éventuellement le logiciel mobile développé pour la RATP par Scanbuy qui lit du Datamatrix ouvert et du Flashcode, mais le site n'est plus mis à jour depuis août 2007...
Que pensez-vous de tout cela ?
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mercredi 8 octobre 2008
mercredi 1 octobre 2008
« Web et papier : un mariage d’avenir pour la presse ? », une tribune de Nicolas Boutet
PDG de Wedia, éditeur d'une solution de gestion de contenu sur internet, Nicolas Boutet profite des premiers Etats Généraux de la Presse, organisés ce jeudi pour proposer cette tribune libre sur le mariage web et papier pour la presse... Lire la suite sur NetEco
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